Vers la petite maison dans la forêt

Hrp/suite de son depart de la taverne

Sur son chevack, krum s’éloignait petit à petit de la taverne laissant les seigneurs rebelle et leurs invités à leurs discussions et danses. Sur la place de la ville, un banquet devait être également organisé vu l’odeur de feu de bois qui se dégageait de plus en plus fort, laissant imaginer qu’il y avait énormément de viande à cuire vu l’ampleur de l’odeur grandissante.

Arrivé au porte de la citée, le chevakier s’arrêta auprès d’un des gardes et d’un regard amicale lui demanda

Joyeuse soirée n’est-ce pas ? J’espère que vous avez bientôt terminé votre tour de garde histoire de pouvoir profiter de la fête.

Le garde répondit au seigneur qu’effectivement son tour était bientôt fini mais le regardait étonner au sujet de la fête en question.

Krum remarqua plusieurs armes dans le poste de garde et désigna de l’index une belle hache, qui d’après le scintillement des torche, laissait dégager un éclat de « nouveau ».

Je vais prendre cette arme avec moi, on ne sait jamais

Le garde prit l’arme et la donna à krum en le saluant.

Voici seigneur, je vous souhaite bonne balade, il fait doux et tranquille en ce jour. Nous espérons que cela continuera.

Sans un mot, le renaissant et sa monture s’engagèrent sur le chemin qui s’engouffrait en pleine foret. Les craquements de brindilles écrasées par les petits animaux n’attiraient guère l’attention du chevakier mais laissaient, à la longue et avec beaucoup d’imagination, comme une légère mélodie mélangée aux glissements des feuilles d’arbres gesticulant au gré du vent.

Et nous voici encore en ballade mon ami dit il à puedubec, mais cette fois nous ne voguons pas au hasard. Je pense que nous allons nous amuser ou du moins contenter ma curiosité depuis que ce vieux Cabacraz m’a conté son histoire. Mais si cela est vrai, nous risquons de nous retrouver face à des Gévoudans ou encore des Morteurs.

Doucement , très doucement, les deux compères suivirent le chemin dans la foret.

Hrp, petit rp pas forcement privé , mais je previens que mon temps tres pris risqu de faire prendre du temps entre chaque poste , a vos risques et perils

La promenade commençait à devenir aussi banal qu’ennuyante, il commençait a se demander si il n’aurait pas mieux fait d’aller dans une auberge quelconque et écouter des vieux habitués ressassant toujours et toujours les mêmes histoires et discutions .
Arrivé à un croisement, Krum stoppa et regardait au plus loin qu’il le pouvait a gauche et a droite. A première vue, à gauche le chemin menait vers une clairière bien éclairée, de l’autre coté, le chemin s’enfonçait dans le bois.
Apres peu de temps de réflexion, il décida de se rendre vers la clairière, il n’avait que peu d’envie pour le moment de tomber sur des brigands caché dans le fin fond des bosquets, ce n’était encore que le matin !

S’avançant vers la sortie de la forêt, un bruit survint a la droite du chevakier, ensuite a la gauche, derrière … Des mouvements, des voix ; des brigands

-Descend de ton chevak et donne nous tout tes mistrel ou nous te planterons nos armes dans le corps de façon a ce que tu nous supplie d’arrêter.

Krum surprit prit la parole

-Et si je vous supplie tout de suite, ca vous va ?

Un d’eux s’avança vers le solitaire, il était petit et dégarni du crane, sa voix stridente était quand a elle seule une vrai torture.

-Ah, je vois que nous sommes tombés sur un petit marrant ! Fait ce qu’on te dit tout de suite petit, sinon je vais me fâcher.

Krum eu un sourire qu’il ne pu retenir, il était marrant le petit bonhomme.

-Dis moi oh grand seigneur des bois, si j’avais prit l’autre chemin, je serais tombé sur quoi ? Car justement j’étais venu ici pour ne p….

Krum n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’un objet percuta son crane, le faisant tomber de son chevak.
Légèrement assommé, il sentit une main attraper la bourse qu’il avait à sa ceinture.

Parmi les rires, la voix stridente repris un nouveau couplet

-Tu as de la chance, je t’aime bien toi, mais vas t’en d’ici avant que l’envie de te vider de tes organes ne me prenne. Allons-y !

Les brigands retournèrent dans les bosquets comme ils étaient apparu, vite. Au premier instant, le renaissant assis au sol s’amusa rien qu’a penser a leur tête lorsqu’il verront les vieilles pierres que krum gardait dans sa bourse, histoire de faire croire qu’il avait beaucoup de mistrel . Une technique pour se faire offrir des tournées dans les tavernes ….

Doucement, krum reprit son chemin.

Arrivé au bout du chemin qui déboulait sur une plaine entouré de forêt, krum s’arrêta et scruta tout mouvement . Les hautes herbes étaient une bonne façon de se camoufler ou de pratiquer « l’embuscade », il devait rester sur ces gardes après l’épisode tragique des brigands.
Krum ne faisant plus qu’un avec les herbes, mis tout ses sens en éveil prêt a bondir si quelque chose arrivait et cela ne tardât pas.

Plus loin une carriole avançait vers la seule petite maison qui déchirait le paysage vert des environs. Un autre bruit attira l’attention de krum qui entre deux herbes observait la scène.

Une petite fille courait, les bras ballotant dans tout les sens vers la maison. Maladroitement, elle déambulait dans la jungle des hautes herbes et fini par tomber pour se relever aussi vite.

Au loin, la cabriole s’était arrêtée et un homme en chemise, bretelle et chapeau en sortit fièrement attendant l’arrivée de sa petite fille. De la cabane, deux autres enfants et une femme en sortirent pour lui plonger dans les bras.

Krum compris qu’il n’avait rien à craindre se releva et s’avança vers la petite maison dans la forêt.

Arriver au niveau du petit groupe, le seigneur ne savait pas comment s’y prendre pour montrer qu’il n’était pas un ennemi, mais a son plus grand étonnement, il n’eut besoin de le faire.

Hello visiteur, bienvenue sur notre terre, je me nomme charlu et voici ma femme carolaine. Voici mes trois filles egalement ; maharie, lauria et ma petite cariel.

Nous allons passer a table, voulez vous vous joindre a nous ? Nous pourrons discuter de plein de choses et faire connaissance. Je vous jouerai même un air de mon instrument fétiche ; mon violon.
Allez allez entrer.

Krum était surpris de tout ca et regardait tout les personnages face a lui ayant un énorme sourire bizarre et ne pu dire que :

Euhhhhhh

Attirer dans la batisse par les enfants, krum ne pu refuser l’invitation. A l’intérieur tout était simples meubles de pauvres fermiers et la bonne odeur régnant dans les lieux démontrait les talents cuisinier de carolaine.

Non, ca ne devait pas être la fameuse maison que Cabracaz nous expliquait, elle est surement bien plus loin qu’ici se dit krum en s’asseyant à la table familiale. Charlu astiquait son violon pour la fin du repas avec un regard amoureux et les enfants dressaient la table quand subitement Maharie se cogna la tête contre une des poutres tenant les escaliers.

Charlu, carolaine et les deux autres membres de la famille se mirent à exploser de rire alors que maharie hurlait de douleur, s’étant enfoncer un clou qui dépassait de la poutre, dans le crane.
Ne t’inquiète pas dit le père en regardant krum et n’arrivant pas à se rattraper de son fou-rire.

Elle est aveugle et même si elle se cogne à longueur de temps, ca nous fait toujours autant rire. Des fois elle fait plus attention alors nous lui faisons un croche-pied.

Alors ? Que viens-tu donc faire par ici ?

Krum assez surpris encore de leur réaction voulu répondre simplement

Eh bien heuuu …

Il n’eu le temps de terminer sa phrase que carolaine apporta la nourriture qui semblait succulente.

Voilaaaa ; bon appétit mes petits hihihi, on se dépêche. Maharie, arrête de faire rire et viens donc a table.

Les deux autres enfants restèrent éloignées, assis contre un mur, jouant avec deux petits insectes.
Krum interpellé par cela demanda

-heu, di….

Charlu le coupa net et prit la parole

Je suppose que tu te demande pourquoi les deux autres sont là-bas ? He bien c’est très simple. Dans le village, il y a une famille exaspérante dont le seul plaisir est d’ennuyer tout le monde. Leurs enfants la même chose. Nous ne donnons donc que très rarement a manger à ces deux la pour les rendre plus agressives et ainsi ne se laisse pas faire par ceux la, c’est fichu Oldon.

Krum était outré par tout cela mais ne s’en mêla pas, après tout ce n’était pas ses affaires.

Le repas se passa en silence et krum repris plusieurs fois de cette nourriture excellente. L’heure de la chansonnette était arrivée. Charlu repris son violon et le serra contre lui un moment avant de le mettre a l’épaule.

Je vais te jouer ma meilleure composition, une œuvre d’art, tu n’en reviendras pas.

L’archet commença a glisser sur les cordes laissant sortir un son qui failli faire exploser les tympans de krum qui cru mourir sur le coup. Ca en était trop, il se leva et tapa sur la table.

Désolé, mais je vais devoir vous quitté car ce n’est pas possible, vous êtes fou !

Charlu stoppa de joué et tourna la tête vers carolaine avec un grand sourire.

Vas-y ma chérie, lache les enfants.

Les deux petites se levèrent et s’avancèrent vers Krum en montrant leur dents et en serrant leurs muscles. Prête à bondir, elle s’avançaient et l’invité se prépara a parer tout coups inattendus. Cariel fonça et s’accrocha à la jambe de Krum alors que Lauria bondit au niveau du cou.
D’un coup rapide, il rattrapa l’enragée par ses couettes et lui fit faire un tour avant de l’envoyer s’étalée contre un mur pendant que la petite enragée lui mordait le mollet. La douleur énorme, Krum eut du mal à bouger sa jambe, il s’abaissa et donna plusieurs coups de poing sur la tête de Cariel qui fini par lâcher assommée.

Mais vous êtes complètement cinglé !!! rétorqua Krum vers les parents.

Charlu claqua des mains pour attirer l’attention de Maharie et lui dicta que c’était son tour.

Maharie obéissante s’avança très vite dans la mauvaise direction, se prit les pieds dans une chaise, sa tête retomba sur la table où était posé un couteau qui à présent se retrouva planté dans son front.

A mon tour alors cria l’homme s’avançant rapidement vers Krum qui grâce à un rouler-bouler, su éviter l’être et se retrouver derrière. A coté de la chaise se trouvait le violon, Krum le prit et le souleva dans les airs.

Noooonnnnn s’écria Charlu, Pas mon violon, fait ce que tu veux avec Carolaine mais pas mon violon continua t’il, les yeux commençant à se mouiller.

Maintenant que Krum avait le dessus, il ordonna de le laisser passer et sortir de cette maison de fou. Au moment où il s’avançait, Maharie se releva miraculeusement et dit

Seigneur, emmener moi avec vous ! Je vous en supplie.

Krum ne savait que faire, était-ce un plan saugrenu pour détourner son attention ou la pauvre petite avait réellement envie de quitter ces gens.
Voyant la détresse sur le visage ensanglanté de la petite aveugle, Krum accepta, tout en surveillant les agissements des parents qui eux, étaient bien plus attirer sur le destin de l’instrument de musique.

Une cote-à-cote, ils sortirent tout les deux, le violon toujours en otage.

Pudu, nous avons de la compagnie, on y va

Une fois monté sur le destrier, Krum lança le violon en direction du puits. Fidele a son lancé de bouteille, il réussit à l’envoyer en plein dedans, tout comme Charlu qui y plongea pour rattraper l’amour de sa vie. Quand a Carolaine, elle n’était pas sortie, surement s’occupait elle de ces animaux.

On y va pudu, allons loin d’ici et trouvons vite quelqu’un qui pourra soigner Maharie ainsi que ma jambe.